NEWS
Les actualités
 d’ADHEOS

Depuis peu, l’un des sujets, qui cristallisent l’actualité togolaise, c’est, sans nul doute, l’homosexualité. Dans la foulée de la clarification des textes de loi, par le ministre des Droits de l’homme, au sujet de ce fait de société, un parlementaire a donné de la voix.

L’homosexualité est un fait de société, largement, répandue, en Occident, notamment. Bien que le phénomène soit réprimé dans plusieurs régions de la planète, ceux qui s’y adonnent, trouvent, toujours, le moyen d’assouvir leur fantasme.

Récemment, une violente bagarre a éclaté, sur la plage loméenne, mettant aux prises, des badauds et des présumés homosexuels. Suite à cet incident, a-t-on appris de sources locales, le Gouvernement togolais a réagi, situant l’opinion publique, quant à ce que dit la loi, sur l’homosexualité.

Alors que le sujet continue de susciter le débat, au sein de l’opinion publique, un député togolais a fait une sortie fracassante. Gerry Komandéga Taama, président du NET (Nouvel engagement togolais), un parti de l’opposition togolaise, s’est invité dans la danse, informent des sources. Dans une récente sortie, le parlementaire, qui plus est, ancien officier des Forces armées togolaises (FAT), a donné son avis, sur la question.

Dans un premier temps, le digne fils de Niamtougou a rassuré la population qu’il n’est pas partisan de l’homosexualité, avant de conseiller les intéressés à ne pas s’exposer, à la vue de tous, vu que la pratique, à laquelle ils s’adonnent, est aux antipodes des valeurs morales et culturelles du pays.

Pour couronner tout, Gerry Taama a, à travers une forme d’analogie, essayé d’attirer l’attention des uns et des autres, sur ce fait social, affirmant que l’homosexualité est semblable à d’autres phénomènes. « L’homosexualité n’est pas une abomination. On est homosexuel, comme on est gaucher. », a lâché l’homme politique togolais, une analyse, qui ne devrait, évidemment, pas recueillir l’adhésion de l’opinion togolaise, dans son ensemble.

Pour rappel, il y a quelques jours, le ministre togolais des Droits de l’homme, Christian Trimua, lors d’une sortie officielle, rapportée par Togo Daily News, a procédé à la divulgation des textes de loi, sur l’homosexualité. Selon le sieur Trimua, dès lors, tout homosexuel encourt une peine de 3 ans de prison ferme. Dans la Constitution togolaise, explique le ministre, l’homosexualité n’est pas un droit de l’homme ; ce qui, au contraire, est un droit de l’homme, précise Christian Trimua, c’est le droit à la vie sexuelle.