NEWS
Les actualités
 d’ADHEOS

Un sondage réalisé auprès des 18-34 ans révèle que ces derniers sont largement favorables à la GPA. Ainsi qu’au remboursement de la PMA par la sécurité sociale.
 
Les jeunes de 18 à 34 ans sont aussi nombreux à souhaiter la victoire de Marine Le Pen que celle d’Emmanuel Macron, avec 24% de préférence pour chacun de ces deux candidats à l’élection présidentielle, selon une enquête Harris Interactive pour RTL Girls.
 
La victoire de la présidente du FN est souhaitée par 24% des sondés (25% des hommes et 23% des femmes), celle de l’ex-ministre de l’Economie également par 24% des sondés (23% des hommes, 24% des femmes). Arrivent ensuite Jean-Luc Mélenchon avec 19% (22% des hommes et 16% des femmes) puis Benoît Hamon, avec 14% (12% des hommes, 16% des femmes).
 
François Fillon, le candidat de la droite, est en cinquième position, sa victoire étant souhaitée par 10% des jeunes (9% pour les hommes, 10% pour les femmes). D’une manière générale, ils sont 70% à se déclarer intéressé par l’élection présidentielle (73% parmi les jeunes hommes, 68% parmi les jeunes femmes).
 
Les 18-34 ans se montrent partagés quant à la capacité du prochain président à mettre en oeuvre une politique visant à réduire les inégalités entre entre les hommes et les femmes.
 
Pour 56% d’entre eux, le prochain chef de l’Etat mettra en oeuvre une politique permettant d’atteindre l’égalité salariale d’ici la fin de son mandat en 2022. 44% pensent le contraire. 57% pensent qu’il adoptera également une politique garantissant l’égalité d’accès aux responsabilités pendant la même période (43 % pensent le contraire).
 
Enfin, les jeunes femmes se montrent plus favorables au remboursement de la PMA (procréation médicalement assistée) que les hommes (81% contre 74%). En revanche, autant de jeunes hommes que de jeunes femmes (65%) sont favorables à la GPA (gestation pour autrui), mais seuls 58% d’entre eux (aussi bien les hommes que les femmes) souhaitent qu’elle soit remboursée par la sécurité sociale.
 
Sondage réalisé en ligne, du 2 au 6 mars, auprès d’un échantillon représentatif de 808 personnes représentatives des Français de 18 à 34 ans, avec la méthode des quotas.