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 d’ADHEOS

Enregistrée à son insu dans un taxi, la blonde héritière s’est lancée dans une diatribe qui fait aujourd’hui scandale.
 
La prochaine fois qu’elle prendra un taxi, nul doute que Paris Hilton se passera d’ouvrir la bouche. En attendant, la starlette se trouve engluée dans une polémique dont elle aura bien du mal à s’extirper. Les faits remontent au début du mois. Assise sur la banquette arrière d’un taxi de Manhattan, la blonde héritière se fait expliquer par un ami mannequin ouvertement homosexuel le fonctionnement de l’application Grindr. Celle-ci permet à ses utilisateurs de se mettre en relation avec des personnes gay grâce à un service de géolocalisation.
 
Jusqu’ici, tout va bien, sauf que ce petit topo entraîne une réaction sans retenue de Paris Hilton : "Les gays sont les personnes les plus chaudes du monde ! Ils sont dégoûtants ! Mec, la plupart ont sûrement le sida !", lâche-t-elle sans détour, ignorant, pour le coup, la présence du chauffeur. Bien mal lui en a pris puisque ce dernier, qui n’a rien manqué de l’échange, a poussé le vice jusqu’à enregistrer la conversation de ses clients.
 
L’affaire enflamme le web
 
Et ce qui devait arriver arriva. Moyennant, on l’imagine, une somme rondelette, le chauffeur en question a transmis l’enregistrement audio, d’une durée totale de 50 secondes, au site de ragots américain Radaronline.com, qui l’a diffusé ce jeudi. Evidemment, ces révélations ont fait l’effet d’une bombe sur la toile et les réseaux sociaux, obligeant même les services de la starlette à monter au créneau.
 
Contacté par Radaronline, un porte-parole de Paris Hilton a ainsi tenté d’éteindre l’incendie. "Ses commentaires, a-t-il expliqué, exprimaient le fait qu’il est dangereux pour quiconque d’avoir des rapports sexuels non protégés qui sont susceptibles de propager une maladie mortel (…) Le chauffeur de taxi n’a communiqué qu’une partie de la conversation. Paris Hilton n’avait aucune intention de tenir des propos négatifs sur tous les gays. Elle soutient énormément la communauté gay". Ce dont il est, désormais, raisonnablement permis de douter…